Le documentaire Le théâtre du langage consacré à Roland Barthes venait rappeler, ou révéler dans mon cas, l’importance qu’accordait le sémiologiste à la musique : l’appartement de l’intellectuel est agencé de telle manière que chaque activité, peinture, écriture, musique occupe l’espace dévolu à son moment de la journée.
Le piano droit accueille ainsi le musicien qui n’a pas manqué dans Roland Barthes par Roland Barthes de décrire son jeu ( « j’improvise tant bien que mal, la place de mes doigts, et dès lors, je ne peux jamais rien jouer sans faute » ), son écoute ( « si j’écoute Richter ou Horowitz, mille adjectifs me viennent : je les entends, eux, et non Bach ou Schumann. » ) ainsi que sa lecture : « Jouissance graphique : avant la peinture, la musique » (la partition) .
Pour finir, son j’aime / j’aime pas
J’aime | J’aime pas |
Glenn Gould
Haendel toute la musique romantique |
le clavecin
Arthur Rubinstein Satie Bartok Vivaldi les chœurs d’enfants les concertos de Chopin les danceries de la Renaissance l’orgue M.-A. Charpentier, ses trompettes et ses timballes |